Que vous soyez séparés, divorcés ou en cours de séparation ou de divorce, la question de la pension alimentaire ainsi que son montant fait souvent débat entre les parents. Pour ce faire, le cabinet COLIN-LAUVERGNAT situé à Melun met ses compétences dans ce domaine à votre disposition.
Depuis de nombreuses années, Maître LAUVERGNAT gère des dossiers relatifs au droit de la famille, notamment ceux qui touchent les questions liées aux obligations alimentaires.
Au cours de la vie commune, les parents contribuent financièrement souvent ensemble aux besoins des enfants. La prise en charge des dépenses relatives aux enfants ne fait donc que rarement l’objet de difficultés, même si cela peut arriver, notamment en cas de contribution inégalitaire ou qui ne prendrait pas en compte la différence de ressources entre les parents.
Cependant, en cas de séparation, la question se pose souvent de savoir quelles modalités prévoir pour que le parent qui héberge les enfants à titre principal ne soit pas seul à subvenir aux besoins des enfants.
La Loi prévoit qu’en cas de séparation, les parents contribuent chacun à l’entretien et à l’éducation des enfants, à proportion de leurs ressources et des besoins des enfants.
Définir le montant de la pension alimentaire qui est due pour l’entretien et l’éducation des enfants n’est pas simple. Cela requiert une réflexion d’ensemble de la situation familiale. Ici encore, les solutions amiables sont toujours étudiées, avant le recours au Juge.
En cas de procédure, Maître LAUVERGNAT saura vous indiquer quels documents devront utilement constituer le dossier que vous remettrez au magistrat.
Chaque situation familiale étant différente, la contribution doit être personnalisée : elle dépend de la situation professionnelle et personnelle de chaque parent, de l’organisation prévue pour l’accueil des enfants, selon qu’ils ont une résidence principale ou une résidence alternée.
Par ailleurs, il faut retenir que la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants ne cesse pas de plein droit à leur majorité. Si l’enfant n’est pas indépendant, la pension doit être versée. Dans la plupart des cas, on exigera tout de même la poursuite d’études sérieuses.
Ce sujet est souvent source de contentieux et d’idées préconçues, il est donc important de s’informer auprès des professionnels compétents.
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